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SCIENCES DE LA SANTE [ S.S. ] |
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Revue du COSA-CMF |
Auteurs de l'article |
TRAORÉ S, TRAORÉ H, KANE AST, DIARRA Y, COULIBALY K, GARANGO A, TOGO AK, TOGORA S, OUKERROUM AA, SLIMANI F. |
Mots Clés |
Prise en charge, fractures orbito-zygomatiques, ACR |
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Num ISSN : 1817-552x [ Trimestriel ] |
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Parution N° Special du 10-11-2022 |
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Volume : Dec de l'année 2018 |
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PRISE EN CHARGE DES FRACTURES ORBITO-ZYGOMATIQUES, EXPÉRIENCE DU SERVICE DE STOMATOLOGIE ET CHIRURGIE MAXILLO-FACIALE, HÔPITAL DU 20 AOUT, CASABLANCA (MAROC). pp. 66-71. |
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Introduction : Les fractures orbito-zygomatiques sont des pathologies très fréquente en traumatologie maxillo-faciale. Elles sont des pathologies relativement fréquentes et en recrudescence en chirurgie maxillo-faciale. Les objectif de cette étude était de déterminer la fréquence des fractures orbito-zygomatiques et d’évaluer les résultats de la prise en charge adéquate.
Méthodes : Il s’agissait d’une étude rétrospective étalée sur 2 ans de janvier 2013 à décembre 2015 concernant 180 cas de fractures orbito-zygomatiques traités et suivies dans le service. Ont été retenus dans cette étude les cas de fractures orbito-zygomatiques avec ou sans extension vers l’os maxillaire. Un consentement éclairé des patients a été obtenu.
Résultats : Dans cette série, 180 cas de fractures orbito–zygomatiques soit 19 % des traumatismes maxil-lo-faciaux ont été prise en charge, les signes cliniques retrouvés étaient de quatre ordres : la marche d’escalier (140 cas, 77 %), la limitation de l’ouverture buccale (68 cas, 38 %) les troubles sensitifs (hypoesthésie sous-orbi¬taire 56% de cas soit 102 patients), et l’effacement de la pommette (68% des cas soient 124 des patients)
Le traitement a été orthopédique dans 96 cas (53,33%° et chirurgical dans 78 cas (43,33%), La séquelle la plus représentée était l’hypoesthésie sous-orbitaire dans 14 cas avec le recul de 6 mois.
Conclusion : Les fractures orbito-zygomatiques sont très fréquentes chez les sujets jeunes. Les nouvelles possi¬bilités diagnostiques et thérapeutiques disponible doivent rendre le chirurgien encore plus exigeant que par le passé dans la recherche de la restitution intégrale des fonctions et de l’esthétique du traumatisé.
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